COUDREAU, Henri. Voyage au Tocantins - Araguaya: 31 décembre 1896 - 23 mai 1897. Paris: A. Lahure, 1897. 298 p.

I • CHAPITRE XII Suite de la descente. - Émigration Goyana sm· la· rive Paraense. - Huitres perlieres. _ Sentier de Rio do Somno. - Les terres de Conceição ou du Landit. - Photoarat>hies . b d'antiquités. - Les " fechos ». __, Les campos de .Martyrios. - La région de Ma:rtyrios. _ CANAL DE l'l'IANDAc,rnú (CAcnOEIRA GRAND_E) . - LEs TROts Gon.z. - Descendan t le Tauiry - Descente des CAcnoErnAs DA lTABocA. - Canal do Capitaricuara. - DE LA NAYIGATION A VAPEUR A L'AnAGUAYA nT ,\u TocANTtNS. - De Arumatheua :1 Par:í par les " furos ,, et Je Mojú. - Par:í. 4 mai. - .Les Cayapós ne sont véritablement pas des lndiens importuns. Les lrois chefs sont d'une discrétion parfaite et 1eurs hommes sont silencieux et bien stylés. Il n'est pas jusqu'à la jeune f~mme qui ne soit d'une parfaite ~enue, ceei soit dit sans allusion à son costume..·.. Congri nous est du plus grand secours pour vérifieL' et compléter le dialecte Cayapó commencé avec Pacaranty. L1:: P. Gil s•occupe à cetle besogne alors que j'essaye d 'arracher, de-ci et de-]à, des renseignements géographiques complémentaire.,, pendant que vont s'établissant, sur Ia table voisine_, les grandes lignes de la carte, an I oo ooo°, du pays Cayapó. 6. - Nous restons ici pour sécher notre viande de route, mais les averses qui tombent pre;que chaque jour ne nous favorisent guere. 7. - Nous descendons de la Barreira à Santa Macl'ia en deux heures. On brule Jes campos du côté du Chicão. La ríve _Paraense est réellement en voie de se peupler. Goyaz, d'ailleurs, semble se vider de partol!lt à son profit. Les g·ens dn Landit, immédiatement au-.dessus de Santa Maria, même rive, s'en vont lous habiter au village du Jl>. Gil. Quelques families de Santa Maria accompagnent déjà leurs voisins du Landit. Rien que pour le Landit, c'est une émigration d'une vingtaine de personrles. Santa Maria (Nova esl déjà en ruines) est sérieusement rne.nacée d'uo

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